J'adore voir les couleurs des feuilles changer au gré du temps, sans que rien ne les perturbent et admirer ces patchworks d'orange, de rouge, d'ocre, pourpre, marron et de vert. L'automne est là !
C'est aussi la saison où le luminosité diminue tout doucement et que le vent et l'humidité dominent.
La réflexologie plantaire aide à nous adapter à ces changements extérieurs en stimulant les organes associés à l'automne; les poumons et le colon. Nous nous purifions de l'intérieur pour (re)trouver notre tonus et vitalité. Les poumons, la peau, une partie du système digestif sont des émonctoires importants. Le travail se porte aussi sur le système immunitaire, essentiel pour palier aux troubles de la sphère ORL et respiratoires.
La réflexologie émotionnelle, quant à elle, vient équilibrer les émotions de la tristesse et de la mélancolie, du souci et du ressassement qui apparaissent souvent en cette saison, avec la reprise de l'école, les responsabilités au travail et à la maison ainsi que la diminution du temps d'ensoleillement et ce fameux changement d'heure!
En tant que partie de notre deuxième cerveau, un gros intestin perturbé déséquilibre la production des neurotransmetteurs notamment la sérotonine, l'hormone du bonheur. Et cela participe, par la suite, aux déséquilibres de la production de la mélatonine l'hormone du sommeil.
Ainsi, les déprimes passagères et saisonnières peuvent être soulagées par la réflexologie et nous retrouvons la sensation d'être protégé, choyé en notre for intérieur et de passer un automne confortable.
Cette technique naturelle et alternative a porté ses fruits depuis des millénaires pour rendre le corps résistant aux changements extérieurs, booster son psychisme et passer cette saison sereinement.
Vous bénéficierez également, lors de la séance, de mes conseils en nutrition et naturothérapeute ainsi que de mes conseils sur les fleurs de Bach.
" Il vaut mieux mettre son cœur dans la prière sans trouver de paroles
que trouver des mots sans y mettre son cœur",
Gandhi,
"Lettres à l'ashram"
Editions Albin Michel, 1971